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- Catégorie : Environnement
Les adultes de ce coléoptère, originaire d’Asie du Sud-Est, sont facilement reconnaissables par leur couleur du brun orangé au noir en passant par le rouge avec des taches noires dont le nombre et la taille sont variables sur le pronotum (thorax). Ces insectes de relativement grande taille mesurent de 19 à 42 mm de long pour une largeur de 8 à 16 mm.
Comme beaucoup de charançons, son rostre (pièce buccale allongée) est caractéristique des adultes. Chez le mâle, il présente une série de petits poils bruns à son extrémité alors qu'il est glabre chez la femelle. Les œufs sont jaune clair et d'une taille de 2,5 mm de long approximativement. Les larves de couleur blanchâtre sont sans pattes. Elles présentent une capsule céphalique très dure et arrondie, de couleur sombre. À maturité, les larves mesurent de 36 à 47 mm de long et de 15 à 19 mm de large. Les nymphes varient de 27 à 40 mm de longueur et de 13 à 16 mm de largeur.
Symptômes de sa présence
Les larves de charançon rouge occasionnent des dégâts très importants sur les palmiers qui conduisent à la mort du végétal infesté. L’infestation n’est pas visible les premiers temps ce qui rend sa détection souvent tardive lorsque des encoches sur les feuilles sont visibles ou que la couronne commence à s’affaisser.
Il peut potentiellement infester toutes les espèces de palmiers, mais il n’a été observé, en France pour l’instant que sur les espèces de Phoenix canariensis et Phoenix dactylifera ainsi que quelques Washingtonia sp..
Possibles confusions
Si la confusion des adultes avec tout autre insecte de la faune européenne est impossible, les cocons peuvent être confondus avec ceux du papillon palmivore (Paysandisia archon) et devront faire l’objet d’une confirmation officielle par les services de la DRAAF Nouvelle-Aquitaine.
Les fibres du cocon du papillon palmivore sont enroulées longitudinalement, de la soie est présente à l’intérieur et les cocons sont disposés dans des galeries alors que les fibres du cocon du charançon rouge sont disposées à la façon d’une « bobine de fil » et les cocons plutôt positionnés à la base des palmes.
Une vigilance particulière est à porter sur les approvisionnements en végétaux - le Charançon Rouge du Palmier est très présent dans le sud de la France (PACA, Corse et dans une moindre mesure Occitanie) et dans de nombreux pays du pourtour méditerranéen dont des pays producteurs proches (Italie, Espagne, Portugal).
Toute suspicion est à signaler à la :
DRAAF Nouvelle-Aquitaine Service régional de l'alimentation
Unité santé des végétaux
Tel : 05 56 00 42 00
La lutte contre ces organismes nuisibles réglementés est l'affaire de tous.
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- Catégorie : Environnement
Le choix des végétaux est important, il définira le besoin de ressources en eau. Le changement climatique qui se fait ressentir même dans notre région oblige à prendre compte le critère de résistance à la sécheresse. C’est pourquoi il est préférable de s’orienter sur des variétés locales et éprouvées mais également vers :
- Annuelles
Une plante annuelle se caractérise par un cycle de culture et de vie de quelques mois seulement (avril à octobre), au cours d'une même année et se multiplie, généralement, sous forme de graines.

BÉGONIAS

DAHLIAS

ZINNIAS
- Bisannuelles
Une plante biannuelle se caractérise par un cycle de culture et de vie de quelques mois seulement à cheval sur deux année et se multiplie, généralement, sous forme de graines.

CAMPANULES

GIROFFLÉES

MYOSOTIS
- Vivaces
Une plante vivace est une plante dont la souche reste en terre même en hiver elle se développe d’année en année.

ACANTHE

ACHILLÉE

AGAPANTHE

AGAVACÉES : AGAVE, DASYLIRION, YUCCA, CORDYLINE...

AUBRIÈTE

BULBINE

MILLEPERTUIS

ROSE TRÉMIÈRE

FAMILLE DES SAUGES
- Bulbes

ALLIUM

CANNAS

IRIS NAIN

JONQUILLE

MUGUET

NARCISSE
- Arbustes à fleurs

ABELIA

ALBIZIA OU ARBRE À SOIE

ALTHÉA (HIBISCUS SYRIACUS)

BIGNONE

BUDDLÉIA (OU ARBRE AUX PAPILLONS)

CÉANOTHE

CHOISYA (ORANGER DU MEXIQUE)

CISTE

LANTANA

LAURIER ROSE

PEROVSKIA

WESTRINGIA OU ROMARIN D'AUSTRALIE
- Arbustes de haie

ARBOUSIER

ATRIPLEX

CYPRÉS

ÉLÉAGNUS

JASMIN D'HIVER (JASMINUM NUDIFLORUM)

LAURIER DU PORTUGAL

LAURIER TIN (VIBURNUM TINUS)

PHOTINIA

TROÉNE
- Arbres

ARBRE DE JUDÉE

CHÊNE (VERT, ROUVE, BLANC, PÉDONCULÉ...)

ÉRABLE (PLANE,SYCOMORE,CHAMPÊTRE...)

EUCALYPTUS

PIN SYLVESTRE

POIRIER FLEUR

PRUNUS

SAULE (BLANC, FRAGILE, ROUX, MARSAULT...)

SORBIER (DOMESTIQUE, TORMINAL, DES OISEAUX...)
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- Catégorie : Environnement
Depuis le 5 novembre 2018, par arrêté municipal ASG18.2549, les propriétaires (ou syndics de propriété) ou locataires des propriétés jouxtant les voies publiques situées sur le territoire communal sont tenus de balayer et nettoyer le trottoir et le caniveau, dans toute sa largeur et sur toute la longueur, au droit de l’immeuble bâti ou non bâti (façade ou clôture) afin de maintenir un état de propreté satisfaisant et sécuritaire pour les piétons.
Adoptons des gestes citoyens !
- Arracher ou faucher les mauvaises herbes, enlever les feuilles, brindilles et autres déchets
- Entretenir ses haies afin d’éviter tout débordement de végétation sur la voie publique, une haie bien taillée s’arrête à l’aplomb de la limite de propriété
- Passer un coup de balai (la neige et de casser la glace en hiver) sur le trottoir et le caniveau
- Contrôler l’état de propreté des gargouilles placées sous les trottoirs pour l’écoulement des eaux pluviales
- Ne pas laisser ses ordures ménagères dans la rue en dehors des horaires autorisés
- L’entretien doit être réalisé par tous moyens, à l’exception de l’usage de produits phytosanitaires
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- Catégorie : Environnement
L’eau est essentielle à la vie, elle est un bien commun à préserver, cependant cette ressource est menacée par le changement climatique et une urbanisation galopante. Elle est, aujourd’hui plus que jamais, au cœur des préoccupations aussi bien pour les autorités, les professionnels que les consommateurs.
L'espace extérieur est un vrai consommateur d'eau au même titre que la salle de bain ou encore la cuisine.
Pour faire des économies sur l'eau au jardin, des solutions faciles à mettre en place existent afin d’économiser un maximum cette ressource tout en préservant le bien-être des fleurs, des gazons et des potager en limitant des litres d’eau qui s'évaporent inutilement, le phénomène d’évapotranspiration (EVP).
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- Catégorie : Environnement
Cerfa n°13404 accompagné des pièces suivantes :
- DP1 - Plan de situation : il s'agit de la localisation du terrain dans la commune, il est nécessaire que plusieurs axes soient indiqués pour permettre la localisation de l'adresse.
- DP2 - Plan de masse : le plan doit être éditer à l'échelle. La parcelle doit être entièrement visible, généralement échelle 1/200 ou 1/500 (une procédure d'impression peut vous être fournie). Le plan doit être légendé et faire apparaître clairement le ou les sujets à abattre et ceux conservés. Compléter le plan de masse avec l'aménagement paysager existant sur le terrain et indiquer les sujets conservés, les sujets à abattre et les sujets à planter en compensation.
- DP7 - Photo du ou des sujets à abattre
- DP8 - Photo du domaine public : vous pouvez indiquer le sujet à abattre ou indiquer qu'il n'est pas visible du domaine public, il faut une vue globale pour apprécier l'impact de l'abattage sur l'environnement paysager
- DP11 - Notice des modalités d'exécution : l'abattage de l'arbre doit être justifié par son état sanitaire, un risque de sécurité, un problème de dégradation... (il peut être fourni des photos supplémentaires pour imager les explications). Il faut expliquer pourquoi vous souhaitez abattre le ou les sujets. Il sera généralement nécessaire de proposer une compensation par la plantation d'un sujet adapté au climat et à la région.
Dossier à déposer en 4 exemplaires au Service Urbanisme (15 avenue de Pontaillac) du lundi au vendredi de 9h à 12h sans rendez-vous ou par envoi postal à l'adresse de la Mairie (80 avenue de Pontaillac). Pour toute question : 05 46 39 56 56 touche 1