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Catégorie : Environnement

La flore, la faune et en particulier les oiseaux sont de bons indicateurs de l’état des milieux naturels mais aussi de la qualité du cadre de vie.

Dans le quartier boisé du Parc, le petit cours d’eau (qui sépare Royan et St-Georges-de-Didonne) et le Jardin du Parc abritent des espèces animales et végétales de toutes sortes.

La première convention décennale entre la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et la Ville de Royan a été signée en 2009.

En partenariat avec la LPO de la Charente-Maritime, la Ville a créé un refuge sur les secteurs du Jardin du Parc et du Riveau de Vallières. Dans ce quartier boisé, riche en espèces de toutes sortes, le projet a pour but de préserver la biodiversité et de favoriser la découverte de cet environnement.

Le dispositif permet de mener les actions suivantes :

En s’appuyant sur un diagnostic naturaliste révisé et le renouvellement de la convention en 2019, de nouvelles pratiques de gestion ont ainsi été mises en place. L’installation de nichoirs et d’hôtels à insectes vient également conforter ces efforts.

Des panneaux pédagogiques ont été apposés à l’attention du public pour apprendre à reconnaître les différentes espèces. 30 nichoirs ont été installés sur le site du Refuge LPO Jardin du Parc et Riveau de Vallières, pour les espèces suivantes : Rougequeue à front blanc, Grimpereau des jardins, Huppe fasciée, Sitelle torchepot, Moineau friquet, Torcole fourmilier, Petit-duc scops, Gobemouche gris, Rougequeue noir et Chouette Effraie. Puis, dans le cadre de la lutte contre la chenille processionnaire du pin, une vingtaine de nichoirs à mésanges a été disposée dans les quartiers du Parc et de Pontaillac.

En plus de panneaux pédagogiques, la Ville propose ponctuellement des animations à l’attention des scolaires et du grand public.

Nous vous invitons à découvrir le site et à créer vous-même votre propre Refuge LPO.


Lien LPO


La LPO et la Ville de Royan se sont rapprochées afin d'installer deux nouvelles plateformes pour cigognes. L’une est destinée à remplacer celle du marais de Pousseau qui s'est effrondrée pendant le confinement, la seconde est positionnée dans le marais de Belmont dans un secteur où les cigognes s’installent parfois sur des pylônes électriques.

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